mardi 4 avril 2017

Cet ancien informaticien qu'on appelle Houellebecq

Je découvre les bouquins de Michel Houellebecq.
Il ne s'agit pas d'un processus critique ou d'une quelconque volonté de recherche stylistique. Il ne s'agit pas non plus de céder à contre temps à une quelconque mode. Je suis d'ailleurs plutôt versé dans la littérature américaine que dans la littérature française. Mais voilà, il y a la gueule de Houellebecq qui m'intrigue et moi j'aime bien lire des bouquins d'auteurs aux gueules qui sortent de l'ordinaire. Jim Harrison, Bukowski, Kerouac, Calaferte, Selby... Ils ont tous un truc, à leur façon.
Le marché de l'occasion qui constitue 80% de mes achats de littérature m'a récemment permis d'acquérir - et de lire bien sûr - plusieurs titres de Houellebecq depuis le mois de Février
- La carte et le territoire : moyennement apprécié.
- Extension du domaine de la lutte : très sympathique bien qu'un peu facile.
- Les particules élémentaires : en cours de lecture, très agréable.
Je vais donc continuer à lire les bouquins de cet ancien informaticien qu'on appelle Houellebecq. En attendant quelques avis plus étayés lors de futures chroniques à venir, je ne résiste pas au plaisir d'afficher la gueule de Houellebecq.

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